Émergeant il y une dizaine d’années, le chemsex a franchi la barrière des happy few parisiens pour se diffuser sur le territoire. La pratique, qui désigne la consommation de produits psychotropes en contexte sexuel, défraie régulièrement la chronique. Le Journal du sida a rencontré des acteur·rices de terrain et chercheur·ses. Tou·tes insistent sur les réponses communautaires à amplifier et coordonner pour répondre au mieux aux besoins du public concerné. Un article signé Christelle Destombes.